• Intrigue n. f.

    L'enchaînement des événements dans un récit de fiction ou une pièce de théâtre. Ces événements forment la trame de l'histoire. On peut mettre en évidence les phases successives de l'intrigue (exposition, qui présente la situation initiale, noeud de l'action, dénouement). Résumer l'intrigue, c'est en fait résumer l'histoire qui est racontée.


  • Juxtaposition n. f.

    Mots ou phrases placés à la suite les uns des autres sans lien de coordination ou de subordination. Action de juxtaposer, c'est-à-dire de placer côte à côte.


  • Modalisateur n. m.

    Les modalisateurs sont des mots et des procédés grammaticaux par lesquels le locuteur porte une appréciation sur son propre énoncé. Il exprime ainsi une certaine subjectivité (voir subjectif). Il s'agit principalement d'exprimer le doute ou le degré de certitude ou d'incertitude (ex. mots comme : peut-être, sans doute, évidemment, bien sûr... ou encore l'usage du conditionnel etc.). Mais la modalisation peut également porter sur une appréciation : l'approbation, le désaccord, l'enthousiasme, rejet.


  • Narrateur n. m.

    Dans un texte narratif, celui qui raconte l'histoire. C'est en général un personnage imaginaire, distinct de l'auteur, sauf dans le cas d'une autobiographie où auteur et narrateur ne font qu'un.


  • Oxymore n. m.

    Figure de style qui consiste à placer l'un à côté de l'autre deux mots opposés. On trouve des cas célèbres d'emploi de ce procédé:

    «Cette obscure clarté» (Corneille, Le Cid ), un silence éloquent, un mort-vivant...

    Ce procédé permet de créer un paradoxe, une image surprenante. Il s'agit d'ailleurs le plus souvent d'une métaphore. On l'appelle aussi parfois «alliance de mots» ou oxymoron.